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Gildas CAUVIN

ThePerfClub permet aux coachs et sportifs de planifier, analyser et améliorer leurs performances.

améliorer son soulevé de terre

Top 5 des exercices pour un meilleur soulevé de terre

Le soulevé de terre est pour tout le monde Pour quiconque se consacre au développement de la force, l’une des principales convictions est qu’il est essentiel d’incorporer des mouvements composés comme le squat, le développé couché et le soulevé de terre. Parmi ces exercices, alias les « big three », ce dernier apparaît comme l’un des mouvements les plus difficiles de tous. Le soulevé de terre vous oblige à tirer une barre immobile (poids « mort ») vers une position verticale verrouillée. Cette action trouve ses racines dans la première loi du mouvement de Newton : « Un objet au repos reste au repos, et un objet en mouvement reste en mouvement à moins d’être sollicité par une force extérieure. » Dans ce cas, cette force externe, c’est vous. Si vous n’avez pas la force de défier ces lois fondamentales de la physique, vous vous retrouvez bloqué avec une barre très lourde. La maîtrise du soulevé de terre revêt une importance immense, que vous soyez un sprinter propulsé depuis les blocs ou un haltérophile engagé dans une compétition. L’art de maîtriser le deadlift est également parallèle à plusieurs domaines de la vie. Plongeons dans l’anatomie du soulevé de terre, ses attributs distinctifs et les cinq meilleurs exercices qui contribuent à une performance supérieure en soulevé de terre ! L’anatomie du soulevé de terre Le soulevé de terre est un exercice composé qui sollicite plusieurs groupes musculaires dans tout votre corps. Voici un aperçu des principaux groupes musculaires impliqués dans le deadlift, ainsi que leurs anatomies et fonctions : Ischio-jambiers : Les ischio-jambiers sont situés à l’arrière de la cuisse. Vos ischio-jambiers jouent un rôle crucial dans l’extension et la flexion de vos hanches, contribuant ainsi à la phase ascendante du soulevé de terre. Ils contribuent au décollage initial du sol. Fessiers : Les fessiers sont les muscles des fesses, les muscles les plus gros et les plus forts du corps. Les fessiers sont connus comme de puissants extenseurs de hanche. Ils sont fortement engagés pendant le soulevé de terre pour vous aider à soulever votre torse et vos hanches d’une position pliée à une position verticale. Spinaux: Ces muscles s’étendent verticalement de chaque côté de votre colonne vertébrale. Les muscles érecteurs de la colonne vertébrale vous aident à maintenir une posture droite en étendant votre colonne vertébrale. Ils travaillent pour garder votre dos droit et stable pendant le soulevé de terre. Quadriceps : Les quadriceps sont sur le devant de vos cuisses. Les quadriceps redressent vos genoux pendant la phase de soulevé. Ils jouent un rôle en poussant vos hanches vers l’avant et en verrouillant votre deadlift. Grand dorsal : Les dorsaux sont les gros muscles qui s’étendent de la partie supérieure de votre omoplate jusqu’au milieu du dos. Les dorsaux maintiennent la barre près de votre corps lorsque vous soulevez, assurant ainsi la stabilité et empêchant la barre de s’éloigner de votre centre de gravité. Trapèze : Les trapèzes sont les muscles du haut du dos et du cou. Vos pièges aident à stabiliser la ceinture scapulaire et le haut du dos, en particulier lors du premier décollage du sol. Les cinq meilleurs exercices pour un meilleur soulevé de terre Vous trouverez ci-dessous les cinq meilleurs exercices pour développer votre soulevé de terre ! Tous les exercices ne sont pas une variante du deadlift. Cependant, il a été prouvé que ces mouvements améliorent vos performances en tirant des poids plus gros du sol. Individualisez vos programmes avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Soulevé de terre avec trap bar J’adore le soulevé de terre avec trap bar. Pensez-y, si vous faites un soulevé de terre traditionnel avec une barre, le poids est déplacé devant vous 100 % du temps. Biomécaniquement, le mouvement exerce une tonne d’engagement sur vos muscles posturaux. Il est impossible d’échapper à cette caractéristique du soulevé de terre, mais pour ceux qui ont du mal à maintenir une bonne posture et un meilleur engagement des jambes, l’utilisation du deadlift avec une trap bar permet de mettre 100 % de la résistance au milieu de votre corps. Cela vous aide à apprendre de meilleures mécaniques de tirage. Avec le soulevé de terre avec trap bar, vous apprenez à engager vos épaules, vos genoux et vos chevilles afin de soulever avec plus de poussée des jambes. Il n’est peut-être pas idéal de faire des soulevés de terre avec trap bar JUSTE avant un de soulevé de terre maximal, mais prévoyez de faire le soulevé de terre avec trap bar pendant les 4 à 6 premières semaines d’un programme d’intersaison pour améliorer votre technique. Farmer’s walk La plupart des pratiquants de force athlétique pensent que la marche du fermier est idéale pour entraîner le grip. Cependant, cet exercice travaille bien plus que simplement garder des choses en main. Avec la marche du fermier, vous devez avoir de la force de poigne, du dos et des fessiers pour faire face aux exigences liées au transport de quelque chose de lourd. Même si vous portez un poids et n’effectuez pas plusieurs répétitions comme vous le feriez avec un soulevé de terre traditionnel, vous devez avoir la force nécessaire pour maintenir et supporter des charges plus lourdes. C’est un formidable stimulant pour changer le rythme de la programmation et briser la monotonie. À des fins de programmation, la marche du fermier n’est peut-être pas nécessaire pour les dernières étapes d’un pic de forme, mais cela pourrait être un mouvement secondaire ou principal dans votre programmation du début de l’intersaison. Imaginez également utiliser une trap bar pour la marche du fermier. Au début de l’intersaison, vous pouvez choisir une semaine pour faire une marche lourde et un soulevé de terre avec trap bar dynamique, puis la semaine suivante, faire un deadlift avec trap bar lourd et faire également une marche de fermier pour la vitesse et l’endurance. Soulevés de terre rapides Je suis plus

force, puissance, vitesse

Retour à l’entraînement après une pause

INTRODUCTION Pour assurer un bon retour à l’entraînement, rappelez vous que votre premier entraînement n’est pas important pour votre progression future. Ce n’est pas non plus le moment idéal pour égaler ou dépasser vos précédents records personnels. Une réintroduction relativement facile à l’entraînement est le moyen le plus rapide d’amélioration, même si cela peut paraître contradictoire. Si vous êtes intrigué, continuez à lire. Parce que les situations individuelles varient considérablement, nous ne pouvons pas couvrir toutes les approches possibles. Au lieu de cela, nous ratisserons large et vous laisserons décider de ce qui s’applique à vous. La première question sera : « Depuis combien de temps avez-vous été absent de l’entraînement ? » Cette durée déterminera largement ce que vous faites lors de votre retour à l’entraînement. Le tableau ci-dessous résume certaines recommandations générales, mais sachez qu’elles ne sont pas basées sur des preuves directes de la littérature : Tableau 1. Approches généralisées de l’effet de l’absence d’entraînement sur les performances. En résumé : plus vous avez été absent, plus vous devez adopter une approche mesurée à votre retour à l’entraînement. Si votre mise à pied a été longue, revoyez vos attentes à la baisse. Des poids qui n’étaient pas difficiles auparavant peuvent sembler très lourds, ce qui peut être bouleversant. Votre conditionnement et votre tolérance au travail seront probablement diminués. Heureusement, ce sera une situation temporaire. Un seul entraînement n’est pas important en soi. Au lieu de cela, la somme de semaines, de mois et d’années d’entraînement constant fournit le stimulus qui vous rend plus fort et plus capable. RETOUR À L’ENTRAÎNEMENT AVEC L’AUTORÉGULATION Nous incluons ci-dessous un aperçu du programme de musculation pour fournir une certaine structure lorsque vous redémarrez votre entraînement, mais le processus de sélection des poids vous incombera. C’est l’un des nombreux domaines où le concept d’autorégulation fait ses preuves. L’autorégulation est le processus utilisé pour ajuster vos charges d’entraînement en fonction de votre niveau de forme un jour donné. Les poids peuvent augmenter ou diminuer par rapport à une séance d’entraînement précédente en fonction des performances au cours de cette séance. Au lieu de cibler un nombre arbitraire, vous ciblez un niveau d’effort pour garantir que le stimulus approprié soit mis en œuvre – ni trop, ni trop peu. Si vous êtes habitué à considérer de manière rigide la charge sur la barre comme la seule mesure du progrès, cela peut être un peu boulversant. Voici comment l’autorégulation peut fonctionner dans la pratique de votre retour à l’entraînement. Vous vous souvenez peut-être de ce que vous avez soulevé il y a trois mois et souhaitez y revenir maintenant que vous avez accès à une salle de sport. Pendant que vous vous échauffez, vous remarquez que les poids d’échauffement vous semblent inhabituellement lourds par rapport à ce dont vous vous souvenez. Compte tenu de ces nouvelles informations, au lieu de vous en tenir à votre plan initial, vous réduisez vos attentes et choisissez un poids qui se situe dans la fourchette « légèrement difficile » ou « agréablement stimulant » (selon vos perspectives). Félicitations, vous avez utilisé avec succès une stratégie d’autorégulation ! Considérez le scénario inverse, dans lequel vous prévoyez initialement un poids très conservateur pour un exercice. Après votre première série, vous déterminez que votre sélection initiale est beaucoup trop facile, vous ajoutez donc du poids pour passer à un effort plus productif pour cette journée. Encore une fois, bravo. Vous disposez désormais d’un mot sophistiqué à appliquer à vos efforts : l’autorégulation.  L’autorégulation a de nombreuses applications dans le retour à l’entraînement, et ce ne sont que deux exemples. Au cours de vos premiers entraînements, vous serez probablement mieux servi par un « sous-entraînement » (en utilisant une charge conservatrice) plutôt que par un « dépassement » (en utilisant une charge excessive). Parce que vous ne serez pas habitué à l’activité à votre retour, vous serez plus susceptible de ressentir des douleurs musculaires et courbatures. Des choix trop agressifs en matière de poids et de volume d’entraînement peuvent vous causer suffisamment de courbatures au point que vous pourriez hésiter à retourner à la salle au cours des prochains jours. Être réaliste quant à votre charge de travail peut vous aider à gérer cette douleur et à rendre les séances d’entraînement ultérieures plus enrichissantes. Vous pourriez également être plus motivé à les faire en l’absence d’inconfort excessif. Certaines douleurs sont normales lorsqu’on fait quelque chose de nouveau et ne sont pas à craindre. Si vous ressentez une douleur inhabituelle après votre première séance, l’autorégulation peut à nouveau s’avérer utile. Retournez à la salle de sport comme prévu, même si vous êtes toujours mal à l’aise. Modérez vos efforts – de manière substantielle, si nécessaire. Cela peut impliquer différents exercices et potentiellement une réduction du poids ou du volume. Prendre l’habitude de s’entraîner régulièrement tout au long de la semaine est à ce stade plus important que le résultat d’une séance considérée isolément. Un retour à l’entraînement en douceur peut potentiellement conduire à de meilleurs résultats. Cela semble paradoxal. C’est ici que « facile » peut en réalité être plus efficace que « difficile ». Un dosage approprié des charges et des volumes d’entraînement entraîne des niveaux de fatigue plus gérables. Cela permettra des séances ultérieures plus réussies et des niveaux de motivation plus élevés. Au lieu de faire patiner vos roues lors de vos premiers entraînements avec des douleurs inutiles, de vous entraîner potentiellement moins fréquemment et d’être mécontent, vous prévoyez une rampe de lancement raisonnable vers les niveaux d’effort souhaités. L’élan se construit ainsi et les gains arrivent. UN EXEMPLE DE PROGRAMME DE RETOUR À L’ENTRAÎNEMENT Tout cela est sympa, mais « Que faire ? Comme mentionné ci-dessus, si vous avez été absent de l’entraînement en force pendant une longue période, pensez à vous inscrire à ThePerfClub. La plateforme de coaching vous permet de suivre votre charge d’entraînement et de réduire le risque de blessures. Individualisez vos programmes avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux

la pliométrie pour prévenir les blessures

4 exercices de pliométrie pour prévenir les blessures

Ces exercices de saut sont conçus pour augmenter la puissance et prévenir les blessures pour de meilleures performances. Nous pensons souvent à la pliométrie pour améliorer ses courses en sprints ou pour devenir plus explosif, mais saviez-vous que parce qu’ils forcent vos ligaments, vos tendons et vos os à s’adapter, ils rendent également vos articulations et vos structures de soutien plus résistantes aux blessures ? Dans cet article, nous partageons quatre exercices pliométriques de base pour les jambes qui peuvent aider à prévenir les blessures de vos membres inférieurs. Pourquoi les exercices pliométriques peuvent aider à prévenir les blessures Le Comité olympique soviétique était incontestablement coupable de dopage systématique pendant la guerre froide, mais cela occulte souvent le fait qu’il a également produit plusieurs innovations sportives significatives. Celles-ci incluent la périodisation et une utilisation plus stratégique de l’haltérophilie olympique et de l’entraînement au saut. Cette dernière a finalement été appelée pliométrie, qui est une combinaison des mots grecs plio (plus) et métrique (mesure). De tels mouvements portent bien leur nom, augmentant la distance sur laquelle vous pouvez sauter verticalement et en longueur, améliorant la rapidité et augmentant la taille et la puissance des fibres musculaires. Vous apprenez également à recruter plus de muscles plus rapidement et à améliorer votre habileté à sauter dans différentes directions.  Un avantage sous-estimé des exercices de saut est qu’ils exposent vos tissus conjonctifs à des charges aiguës élevées. Votre corps réagit en créant plus de collagène, un élément constitutif du cartilage, des tendons, du ménisque et des ligaments. Cela rend non seulement vos structures de soutien plus solides afin que vous puissiez améliorer la vitesse, la hauteur ou la longueur des sauts, mais vous prépare également aux rigueurs de la course et de tous les autres sports de puissance et d’explosivité auxquels vous pourriez participer.  Un facteur contribuant aux blessures aiguës des ligaments et des tendons et aux maladies chroniques tenaces telles que le genou du coureur, la fasciite plantaire et la tendinite d’Achille est que les tissus enflammés ou déchirés n’ont pas été exposés à une charge d’entraînement suffisante pour supporter les rigueurs de votre sport. Comme le dit le vieil adage, mieux vaut prévenir que guérir, et une façon de réduire l’incidence de telles blessures est d’inclure la pliométrie quelques fois par semaine dans vos séances d’entraînement. Faites-les après votre échauffement et avant votre travail de force et d’endurance, car ces types d’entraînement diminuent la puissance délivrée.  Exercices pliométriques pour prévenir les blessures aux jambes pour débuter Voici quelques exercices pour vous débuter. Choisissez-en deux ou trois par entraînement, en effectuant cinq séries de cinq répétitions de chacun avec une à deux minutes de repos entre les séries. Si vous constatez un ralentissement ou une dégradation de la qualité de l’exercice, terminez la série plus tôt et essayez de prendre une pause plus longue entre les séries.  1. Sauts de boîte (box jump) 2. Saut latéral  3. Flexion / extension (squat jumps) 4. Sauts en fente pour prévenir les blessures Lorsque vous maîtrisez ces exercices pliométriques de base, vous pouvez ajouter des variations qui changent la direction – comme des sauts latéraux au lieu de sauts en hauteur – et ajouter des contre-mouvements tels que descendre d’une boîte puis sauter vers le haut (c’est-à-dire, un saut en profondeur) ou sauter d’un côté à l’autre sans pause. Tout mouvement de saut explosif est techniquement pliométrique, alors n’ayez pas peur de faire preuve de créativité. La clé est de garder votre corps sous contrôle même s’il se déplace rapidement et de s’assurer que vous réussissez un atterrissage et en toute sécurité à chaque fois.  Évitez également la tentation de faire trop de volume, car cela ne prend pas plus de cinq à 15 minutes plusieurs fois par semaine pour provoquer les adaptations de résistance aux blessures, de renforcement du tissu conjonctif et de renforcement du pouvoir que vous recherchez. De plus, ces exercices doivent être effectués en “restant frais”, autrement dit sans forcer sous fatigue. Si vous avez des problèmes préexistants au genou, à la cheville ou à la hanche, essayez d’effectuer les exercices sur l’herbe ou sur une autre surface molle. S’en tenir à la pliométrie dans le cadre de votre programme d’entraînement en résistance protégera vos articulations, renforcera vos ligaments et vos tendons, contribuera à éliminer les blessures tenaces et vous aidera à pratiquer le sport que vous aimez plus longtemps. Individualisez vos programmes avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Articles recommandés

jours de récupération

Les jours de récupération : importance, fréquence et choses à éviter

Apprenez à optimiser les jours de récupération pour améliorer les performances et la récupération lors des entraînements, y compris les avantages d’une récupération active et d’une bonne nutrition. Si vous êtes un compétiteur motivé qui aime l’entraînement, vous envisagez probablement le repos avec scepticisme et pourriez même vous moquer des jours de récupération. Mais en réalité, même les athlètes les mieux préparés doivent prévoir des repos réguliers pour que leur corps puisse répondre aux stimuli d’entraînement, récupérer et se ressourcer pour les entraînements et les compétitions à venir. Voyons pourquoi vous avez besoin de jours de repos, à quelle fréquence vous devriez les faire et les pièges potentiels.  Stimulation de l’entraînement + repos = Adaptation En tant qu’athlète, il est facile d’être obsédé par chaque élément de votre entraînement, en particulier si vous avez un partenaire, un entraîneur ou un groupe avec qui en savoir plus sur les détails. Bien qu’il n’y ait rien de mal à cela, si vous n’affinez pas également votre récupération, vous passez à côté de la moitié de l’équation de la performance.  Exposer votre corps à une charge suffisante est un must pour s’améliorer. Mais si vous ne prévoyez pas suffisamment de repos pour vous adapter à ce stimulus, vousallez vous épuiser et ne pas progresser. Afin de constater des gains de forme physique, pour que le corps continue à faire ce que vous voulez qu’il fasse, vous devez lui donner suffisamment de repos pour qu’il récupère et progresse. Si vous êtes un athlète, cela signifie prendre du temps en dehors de l’entraînement. Dans d’autres articles ThePerfClub, on a exploré pourquoi les jours de repos sont important même quand on est en forme, les arguments en faveur d’un travail de mobilité au moins 10 minutes par jour et l’impact positif d’une nutrition et d’une hydratation optimales. Aussi vitaux que soient ces éléments, vous allez compromettre leurs avantages potentiels si vous ne planifiez pas et n’observez pas régulièrement de véritables jours de repos.  Développez la fidélisation des vos coachings avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Une récupération insuffisante augmente le risque de blessure, compromet votre système immunitaire, diminue vos performances et vous rend plus vulnérable au surentraînement – ​​ce qui est souvent pointé du doigt alors que le manque de repos est le véritable coupable.   Même si le corps humain est capable d’incroyables exploits d’endurance, de force, de puissance et de vitesse, nous sommes également conçus pour avoir besoin de repos. Même les dernières tribus nomades, qui se déplacent d’un endroit à l’autre pour chasser et récolter de la nourriture, ne sont pas toujours en mouvement. Par exemple, une étude sur les Hadza en Tanzanie a montré que même s’ils sont capables de parcourir de nombreux kilomètres à la fois, ils passent jusqu’à 10 heures par jour au repos.  Il est intéressant de noter à propos des Hadza que lorsqu’ils ne bougent pas, ils sont souvent accroupis ou agenouillés sur le sol. Ces postures nécessitent une activation musculaire et une circulation constante qui améliorent la récupération des Hadza après leurs chasses ardues. Cela aide également à prévenir les maladies métaboliques, ce qui fait allusion à la nécessité d’une récupération active que nous explorerons plus loin dans cet article.  À quelle fréquence devriez-vous prendre vos jours de récupération ? Vous avez probablement entendu des histoires d’athlètes d’endurance dont les horaires semblent impossibles à respecter. Par exemple, lors de la préparation des Jeux olympiques de Pékin, l’entraîneur Bob Bowman a révélé que Michael Phelps n’avait pas pris un seul jour de repos en quatre ans. Mais cela ne mentionne pas le fait que même le médaillé le plus prolifique de l’histoire olympique a participé à des journées bien moindres en intensité et en volume que d’habitude. Il est également peu probable que vous essayiez de battre le record de Mark Spitz pour les médailles d’or remportées en un seul Jeux, auquel cas vous n’avez aucune raison de regarder un cas aberrant comme Phelps et d’essayer de l’imiter. Alors, à quelle fréquence faut-il se reposer ? Aussi frustrant que cela puisse être de le dire, la réponse est : « Cela dépend ».  Comme pour l’entraînement et la course, il n’existe pas d’approche unique en matière de jours de récupération. Votre expérience d’entraînement, votre niveau de forme physique, vos antécédents de blessures et la période de l’année dans le calendrier des compétitions (intersaison ou saison de compétition) doivent être pris en compte. Signes que vous avez besoin d’un jour de récupération Si vous n’êtes pas un athlète professionnel, tenez compte des facteurs contextuels tels que les exigences professionnelles, l’emploi du temps familial et la façon dont vous faites le plein, vous hydratez et récupérez. Prévoir au moins un jour de repos complet après une activité physique exigeante tous les sept à 10 jours. Le corps a besoin d’une opportunité de se remettre du stress métabolique et mécanique de l’entraînement. Augmentez la fréquence de vos jours de repos si vous avez du mal à maintenir le rythme de vos séances d’entraînement, si vous devez vous arrêter plus tôt que vous le feriez normalement ou si vous vous sentez inhabituellement fatigué par la suite. Il en va de même si vos données objectives et/ou subjectives en matière d’entraînement et de bien-être montrent une baisse soudaine ou un déclin constant.  Se sentir mal, revenir d’une blessure ou d’une maladie, voyager fréquemment et avoir du mal à dormir régulièrement (nous vous voyons, nouveaux parents) sont d’autres raisons d’avoir besoin de plus de jours de repos.    Trouver l’équilibre idéal entre jours de récupération et entraînement  S’entraîner trop ou trop dur sans suffisamment de récupération a des effets négatifs sur votre entraînement et votre santé. Mais ne pas s’entraîner assez dur ne générera pas non plus de bons résultats.  En d’autres termes, il devrait y avoir un stimulus suffisant dans votre programmation quotidienne pour inciter à l’adaptation, afin que vous puissiez ensuite boucler la boucle avec des jours de repos, du sommeil et d’autres méthodes de récupération. Trouver ce point idéal pourrait être possible par vous-même si

Une nouvelle façon de quantifier la charge musculaire

Présentation d’une façon unique en son genre de mesurer la tension exercée sur votre corps pendant l’entraînement en force. ThePerfClub quantifie la charge musculaire de vos entraînements en suivant les poids, les répétitions et les séries pour une vue complète de vos efforts d’entraînement. Quantifiez votre entraînement en force La plupart des montres et bracelets connectés suivent uniquement votre charge cardiovasculaire pendant l’exercice en utilisant votre fréquence cardiaque, ce qui est idéal pour les exercices comme la course, le vélo et d’autres activités aérobiques. Cependant, si vous effectuez une séance d’entraînement avec des poids très intenses ou lourds comme l’haltérophilie, la réponse de votre fréquence cardiaque n’est pas proportionnelle à l’effort que vous fournissez et à la charge que votre corps supporte. Jusqu’à présent, aucun appareil portable n’a quantifié efficacement l’impact de l‘entraînement en force sur votre corps. ThePerfClub comble une lacune critique dans le domaine en apportant un complément à ces dispositifs connectés en quantifiant à la fois la charge cardiovasculaire et musculaire pour une vue complète de votre entraînement, vous permettant de vous entraîner plus efficacement. Calcul de la charge musculaire Pour des activités comme l’entraînement en force, la mesure de la charge cardiovasculaire à elle seule ne tient pas compte de l’intensité de travail de votre corps. ThePerfClub a développé un algorithme pour calculer la charge musculaire – la quantité de stress exercée sur les muscles, les os, les articulations et les tissus. ThePerfClub utilise la un score de charge d’entraînement global pour suivre l’impact de divers exercices de musculation sur votre corps. Différents mouvements ont des profils de mouvement différents et utilisent un pourcentage différent du système musculo-squelettique total. Par exemple, un back squat a un profil de charge différent qu’une extension de mollet car il utilise plus de muscles et d’articulations, créant une charge musculaire plus élevée. ThePerfClub prend en compte tous les profils de mouvement qui font partie de votre séance d’entraînement et quantifie votre charge musculaire à l’aide du calcul du tonnage et de la catégorisation des exercices pour comprendre le volume et l’intensité de votre entraînement. Il calcule le volume pour chaque répétition de chaque exercice, mesure l’intensité de chaque répétition et estime le volume maximum en fonction de votre historique d’entraînement afin de générer une charge musculaire unique pour chaque séance de musculation. Vous pouvez gérer votre intensité avec le suivi de vos performances maximums en renseignant vos records personnels. Apprenez en plus sur les métriques ThePerfClub sur notre documentation. Comment la charge musculaire influence la fatigue Lorsque vous utilisez ThePerfClub, votre indicateur de fatigue mesurera à la fois la charge cardiovasculaire et la charge musculaire. Si vous vous entraînez régulièrement en force, vous remarquerez probablement des scores de fatigue plus élevés. Votre score de récupération sera probablement plus faible les jours où vous suivez vos entraînements de musculation, ce qui entraînera probablement un besoin de sommeil plus élevé. Ces informations peuvent vous aider à prendre de meilleures décisions lorsqu’il s’agit de planifier votre récupération et votre prochain entraînement. Comment suivre la charge musculaire Un outil pour les coachs et préparateurs physique Avec ThePerfClub, les coachs et entraîneurs peuvent ajouter les profils de leurs sportifs et athlètes et créer leurs programmes d’entraînement complets dans leurs calendrier dédiées et avoir des données sur la fatigue et la récupération de façon individuelle et collective. Ce qui rend la plateforme versatile autant pour les coachs personnels que les entraîneurs et préparateurs physiques d’athlètes de sports individuels ou collectif. À quoi s’attendre ensuite Avec cette quantification de la charge musculaire, ThePerfClub est le premier logiciel de création de programme d’entraînement et de suivi sportif qui mesure de manière exhaustive la charge cardiovasculaire et musculaire. Que ce soit grâce à une routine régulière de conditionnement physique fonctionnel ou à un entraînement de musculation, les abonnés obtiendront plus de crédit pour le travail qu’ils accomplissent. Le contenu disponible via les services ThePerfClub peut inclure des informations ou des routines d’entraînement, ainsi que d’autres médias comme nos podcasts et notre chaîne Youtube pour vous aider à atteindre vos objectifs de santé, de forme physique et de bien-être. ThePerfClub n’est pas un prestataire de soins de santé, un entraîneur personnel ou un instructeur de fitness et ces services (y compris les recommandations et les informations disponibles via ces services qui peuvent sembler personnalisées) peuvent ne pas vous convenir. ThePerfClub n’est pas responsable des résultats qui peuvent ou non être obtenus grâce à l’utilisation de ces services. Individualisez vos programmes avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Articles recommandés

test aérobie et vo2max pour l'entraînement

Tests de condition physique : capacité aérobie et VO2 Max

Inclure des tests de condition physique dans votre programme d’entraînement peut vous aider à vous entraîner plus intelligemment à long terme. Voici comment tester et améliorer régulièrement la capacité aérobie et le VO2 max. Les tests de seuil aérobie et VO2max suscitent beaucoup d’attention, mais ce n’est pas le seul moyen de définir vos références saisonnières. Tester régulièrement vos progrès à différentes intensités, telles que la VO2 max et l’endurance fondamentale, peut vous permettre d’identifier et de palier à vos faiblesses, faisant de vous un athlète meilleur et plus complet à long terme. Voici quelques moyens simples d’effectuer ces tests de condition physique. Test VO2 Max Le VO2 max est la quantité maximale d’oxygène que vous pouvez utiliser lors d’un entraînement intense. Augmenter votre VO2 max se traduit par une plus grande consommation d’oxygène et donc plus de production d’énergie.  Même si vous ne courez pas à des niveaux d’intensité plus élevés, travailler pour améliorer votre VO2 max peut vous apporter des avantages substantiels. En plus d’améliorer la production et l’apport d’énergie, un VO2 max plus élevé peut augmenter votre seuil de lactate, votre volume plasmatique, votre force musculaire, votre tolérance au lactate, votre stockage du glycogène et votre volume systolique.  Pour obtenir une première lecture de votre allure ou de votre puissance à VO2 max, effectuez une séance avec un effort intense comme indiqué ci-dessous : Une fois votre séance terminée, prenez votre allure ou votre puissance moyenne pendant la partie d’effort maximal de l’entraînement pour identifier la rapidité ou la puissance avec laquelle vous effectuez votre VO2 max actuelle. Vous pouvez facilement le faire avec une montre connectée en identifiant votre puissance ou votre rythme maximal sur 5 minutes pour la séance.  Vous pouvez avec ThePerfClub faire le suivi de vos indicateurs de performances avec la partie métriques, comme montré ci dessous. Les métriques ThePerfClub Qu’est-ce qu’une métrique? Simplement, une métrique est tout ce sur quoi vous souhaitez suivre les résultats au fil du temps. Les métriques et groupes de métriques que vous créez sont 100% personnalisables, vous avez donc une liberté totale dans les informations que vous collectez. Certaines des valeurs préférées des coachs et athlètes peuvent inclure: Développez la fidélisation des vos coachings avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Entraînement VO2 Max Si une partie de votre objectif d’entraînement est d’augmenter votre VO2 max, vous souhaiterez inclure des fractionnés de VO2 max dans votre plan d’entraînement qui ciblent vos valeurs de rythme/puissance correspondantes. Une de ces sessions pourrait inclure : Remarque : pour les coureurs cyclistes de sprint, vous pouvez également trouver utile de suivre votre puissance de pointe sur 10, 20, 30 secondes et 1 minute. En effet, vous devrez souvent travailler sur ces efforts afin de rester ou de vous détacher du peloton. Le suivi de votre puissance de sprint vous aidera à comprendre votre capacité à atteindre ces objectifs. Cela peut également vous donner une idée de votre capacité à maintenir un sprint à la fin d’une course.  Ces intervalles deviendront plus faciles à mesure que vous poursuivrez votre protocole d’entraînement, indiquant que votre VO2 max augmente. Une fois que vous constatez un changement constant supérieur à une augmentation de 5 % par rapport au test d’origine, ou une diminution progressive du RPE et de la FC pour le même rythme ou la même puissance, il est temps de refaire le test en utilisant le même test que celui décrit ci-dessus. De manière générale, cela peut être fait toutes les quatre à six semaines lorsque vous travaillez spécifiquement sur le développement de la VO2 max. Utilisez vos chiffres d’allure/puissance mis à jour dans vos intervalles VO2 max afin que l’intensité des séances suit votre niveau de forme physique actuel. Tests de condition aérobie et progression De l’autre côté du spectre d’intensité, je recommande également des évaluations de référence et périodiques pour avoir une idée de votre capacité aérobie. En tant qu’athlète d’endurance, comprendre votre rythme ou votre production de puissance lors d’un effort aérobie modéré peut vous donner un aperçu de la façon dont votre endurance se développe et vous signaler quand il est temps de modifier votre entraînement pour créer de nouvelles adaptations.  Lorsque vous testez votre capacité aérobie, vous souhaitez faire des comparaisons entre les paramètres suivants :  Au fur et à mesure que votre condition aérobie s’améliore avec le temps, vous verrez le rythme de votre puissance augmenter à une fréquence cardiaque donnée. Alternativement, vous pouvez voir la FC diminuer pour la même puissance ou le même rythme. Dans les deux cas, c’est un bon signe qu’il est temps de retester votre seuil .  Test aérobie pour les cyclistes Si vous êtes un cycliste et souhaitez identifier les points de données ci-dessus, effectuez une sortie de 45 à 90 minutes dans la zone 2 de fréquence cardiaque (83 à 86 % du seuil). La durée du parcours dépendra de votre forme physique actuelle et de la distance de course. Si vous débutez dans l’entraînement, restez fidèle à l’option de 45 minutes jusqu’à ce que vous soyez en forme. Cette session peut être répétée toutes les 4 à 6 semaines, en effectuant des comparaisons entre les points de données ci-dessus.  Test aérobie pour les coureurs Pour courir, effectuez une course de 5 à 10 km dans la zone 2. Comme pour la variante cycliste, sélectionnez la durée qui correspond à votre objectif en tant qu’athlète de courte ou de longue durée. Répétez la séance toutes les 4 à 6 semaines, en comparant le rythme, la FE et la Pa:HR. Si vous courez avec de la puissance, vous pouvez également faire des comparaisons sur les mesures de puissance de course.   Test aérobie pour les nageurs Pour la natation, effectuez une nage continue de 1000 m avec un effort aérobie, qui est environ 10 secondes plus lent que votre vitesse de nage seuil (ou RPE 4). Si vous êtes un athlète

applications et journal d'entraînement pour coachs sportifs

L’importance du journal d’entraînement pour le suivi de vos performances

Tenir un journal d’entraînement peut avoir un impact majeur sur le succès de votre programme d’entraînement. Voici comment. De nombreux athlètes tiennent un journal d’entraînement pour suivre leurs performances. Avant l’existence des options numériques modernes, un journal était souvent un calendrier ou un carnet dans lequel un athlète pouvait enregistrer les détails de base de chaque entraînement. Bien que cette méthode ait toujours ses mérites, un journal d’entraînement en ligne comme ThePerfClub amène le processus à un niveau supérieur tout en fournissant les éléments simples qui rendent un journal d’entraînement essentiel pour le succès à long terme, y compris la tenue de registres et l’analyse des données objectives de charges d’entraînement et du ressenti de l’athlète et de son bien-être. En tenant un carnet d’entraînement, vous apprendrez de vos réussites et de vos échecs pour renforcer votre motivation et votre confiance. Le journal d’entraînement numérique collecte et analyse les données pour vous Un journal d’entraînement est un endroit pour collecter des données. Avec une grande facilité dans la création des séances et des exercices d’entraînement, la majeure partie du travail est effectuée ici pour l’athlète et il ne reste plus qu’à placer les données quelque part qui permettent l’ajout de commentaires personnels subjectifs. ThePerfClub y parvient en calculant automatiquement la charge d’entraînement, notamment la distance, la durée, le tonnage, l’intensité… Les athlètes effectuent un suivi en accédant au journal qui accompagne l’entraînement sur le calendrier et en enregistrant leurs évaluations subjectives dans les commentaires post-activité. Il peut s’agir de réflexions courtes et directes telles que « je me sentais bien » ou « un peu fatigué et j’ai mal au genou » ou de réponses plus longues et plus descriptives. Les commentaires personnels subjectifs sont un ajout essentiel car ils aident à expliquer les données capturées sur le journal d’entraînement. D’autres options utiles de collecte de données incluent le sommeil, l’humeur, l’apport nutritionnel et l’hydratation. Encore une fois, de nombreux objets connectés de fitness peuvent collecter des données et vous pourrez les renseigner dans ThePerfClub.  Développez la fidélisation des vos coachings avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant La clé de la collecte de données est la capacité de les analyser et d’en tirer des leçons. ThePerfClub fournit une analyse détaillée au fil du temps qui met en évidence les tendances, catégorise les efforts et propose des données spécifiques sur la forme physique et la fatigue en fonction de la charge d’entraînement. Pour autant, gardez en tête que même un journal écrit permet au sportif de remonter son ressenti et ses résultats d’entraînement pour évaluer l’impact de son entraînement sur ses objectifs.  Suivez votre entraînement pour apprendre des succès et des échecs Un journal d’entraînement est essentiel car un athlète peut corréler le succès et l’échec avec les éléments de son entraînement. Par exemple, après avoir couru un marathon et échoué lors des 10 derniers kilomètres, un journal peut mettre en évidence un manque de course longue avec des jambes fatiguées pendant l’entraînement. Ou peut-être, lors d’une analyse rétrospective du carnet d’entraînement, il est évident qu’un manque de sommeil et un mois de travail très stressant auraient pu faire dérailler la récupération. D’un autre côté, peut-être que cette journée supplémentaire de natation a démontré des temps améliorés sur 100 m qui se sont répercutés sur un record sur la partie natation d’un triathlon. Quel que soit le résultat, reconnaître les tendances en matière de préparation mentale et physique permet un entraînement et une performance future plus spécifiques et plus réussis.  Le journal d’entraînement comme source de motivation Les journaux d’entraînement peuvent stimuler la motivation. Les athlètes se fixent des objectifs et peuvent voir à la fois le processus et le produit dans les données. ThePerfClub défini des zones d’entraînements par couleur en rouge (surentraînement), jaune (surmenage ou récupération) et vert (optimale) pour indiquer la forme probable et le niveau d’entraînement de l’athlète, vous invitant à atteindre des semaines vertes. Exploiter l’énergie des données objectives (regardez combien de kilomètres j’ai couru ou combien de tonnes j’ai soulevé le mois dernier) et des questionnaires de bien-être qui récoltent des données subjectives (ces entraînements m’ont fait me sentir bien même s’ils étaient difficiles) est amélioré par un bon journal d’entraînement.  Boostez votre confiance avec un journal d’entraînement cohérent Il y a un énorme coup de pouce en repensant aux mois d’entraînement précédant une performance. Bien qu’une certaine anxiété le jour de la compétition soit normale, revoir les nombreuses heures d’entraînement et d’efforts qui ont conduit à cette journée peut l’emporter sur les émotions négatives. Un journal d’entraînement peut également donner confiance après une blessure ou une absence d’entraînement. Parfois, le cerveau humain aime se concentrer sur le négatif, mais un journal d’entraînement peut mettre en évidence le positif. Vous avez déjà fait cela ; vous vous êtes entraîné et avez réussi et pouvez surmonter de nouveaux défis. Après des années passées à tenir un journal d’entraînement, il existe des montagnes de données prouvant votre durabilité et votre potentiel : il suffit de recommencer le processus et de continuer. La tenue d’un journal d’entraînement est un outil indispensable pour tous les niveaux d’athlète. Il permet la collecte et l’analyse de données qui peuvent apporter motivation, apprentissage et confiance. De plus, cela peut aider à prévenir les blessures et à offrir un entraînement meilleur et plus individualisé. Les athlètes se construisent au fil des années, et non des semaines, et un journal d’entraînement bien tenu est l’un des secrets de leur réussite. Individualisez vos programmes avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Articles recommandés

La musculation pour les athletes d'endurancefeminines

Pourquoi les athlètes d’endurance féminines doivent s’entraîner en force

L’entraînement en force est une composante de l’entraînement que de nombreuses athlètes d’endurance féminines négligent. Voici les raisons de s’entraîner en force ainsi que quelques exercices clés que vous pouvez faire n’importe où. Si vous êtes une athlète d’endurance féminine et que vous n’intégrez aucun entraînement de force à votre programme d’entraînement, j’espère que vous le ferez d’ici la fin de cet article. En tant qu’entraîneur, on entend encore des femmes ne pas vouloir s’entraîner en force, de peur de devenir volumineuses. L’entraînement en force ne signifie pas toujours soulever des charges lourdes (les exercices avec poids corporel sont fantastiques), et même si vous soulevez des charges lourdes, si vous mangez correctement, vous constaterez de grands changements dans votre corps, pas dans votre volume. Vous récolterez les avantages suivants si un programme de musculation est mis en œuvre correctement. Prévention des blessures des athlètes d’endurance féminines C’est énorme et, au contraire, cela devrait être le principal moteur de l’entraînement en force. Que vous soyez cycliste, nageur, coureur ou triathlète, vous faites le même mouvement encore et encore, ce qui peut poser des problèmes si les muscles qui stabilisent les articulations sont faibles. Plus votre tronc est fort (des épaules aux hanches), plus vous pouvez maintenir une bonne position et garder le rythme longtemps à la fin d’une course. Plus vous êtes fort dans tous les plans de mouvement, moins vous risquez de vous blesser. Développez la fidélisation des vos coachings avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Augmentez la masse musculaire pour améliorer la composition corporelle d’une athlètes d’endurance féminines Avoir plus de masse musculaire augmente votre métabolisme pour un poids corporel donné. Et oui, selon votre point de départ, les muscles devront peut-être grossir un peu avant de pouvoir devenir plus forts. Mais vous n’obtiendrez pas de masse musculaire volumineuse, car vous nagez, faites du vélo ou courez probablement au moins 2 à 4 fois le temps que vous consacrez à un travail de force. Peut-être que votre corps va changer, mais vous aimerez ce que vous voyez dans le miroir. Vos stratégies nutritionnelles quotidiennes jouent également un rôle à cet égard. L’entraînement en force peut également améliorer la densité osseuse, ce qui peut aider à prévenir l’ostéoporose. Améliorer la production d’énergie Cela vous aidera à courir plus vite ! Si vous avez du mal dans les montées ou si vous avez du mal à rester stable sur le plat, l’entraînement en force peut vous aider. D’après l’expérience de nombreux sportifs, intégrer un programme structuré de soulevé de charges lourdes et fonctionnelles va vous permettre des gains de performances musculaires à contraction rapide avec très peu de volume en endurance. Vous allez également voir votre puissance maximale sur des sprints de 10 secondes augmenter de 20 %. Donc, si vous dites « Je ne sprinte pas », cette génération d’énergie améliorée vous aidera sur un parcours avec ces petites montées qui vous mettent dans le dur. Pour obtenir de bons résultats, des exercices axés sur la production d’énergie, tels que des mouvements d’haltérophilie avec des poids ou des exercices pliométriques comme des sauts, sont nécessaires. Il peut être un peu difficile de savoir par où commencer si vous débutez dans l’entraînement en force, mais il existe de nombreuses ressources telles que des livres, en ligne ou auprès d’entraîneurs personnels. La clé est de trouver l’option qui correspond à votre emploi du temps et qui vous permet d’être cohérent. Certaines de ces options sont : Exercices de force à faire à la maison pour les athlètes d’endurance féminines : Faites 1 à 3 séries de 8 à 12 répétitions des exercices répertoriés ci-dessous, sauf indication contraire. Force des hanches – Les cyclistes et les coureurs doivent y prêter une attention particulière . Force des épaules et du dos – Les triathlètes doivent travailler la coiffe des rotateurs et les stabilisateurs scapulaires. Même pour les cyclistes et les coureurs, il est utile de maintenir une bonne position corporelle. Base générale – Idéal pour tous les athlètes d’endurance féminines qui souhaitent s’améliorer. Commencez par 5 à 10 minutes d’exercices au poids du corps trois fois par semaine et voyez si vous remarquez une différence. Si vous parvenez à ne pas vous blesser, à devenir un peu plus mince et plus fort, il y a de fortes chances que vous couriez plus vite ! Ces exercices sont d’un niveau débutant, lorsque vous les maîtrisez, vous pouvez éventuellement passer à un programme d’entraînement avec charge additionnelle. Individualisez vos programmes avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Articles recommandés

importance du gainage en entrainement

L’importance du gainage

Avoir un gainage solide offre de nombreux avantages, notamment la prévention des blessures et une plus grande efficacité, même pour les sports d’endurance. Voici une série d’exercices qui peuvent vous aider à atteindre des mouvements plus fonctionnels. Alors que vous entamez votre entraînement pour vos nouveaux objectifs, c’est le moment idéal pour revoir les concepts d’entraînement en force liés au « gainage » du tronc. Vous avez probablement entendu parler de l’importance d’avoir un gainage solide. En fait, le terme « gainage » est si fréquemment utilisé qu’il est souvent mal compris et mal représenté. Pour cet article, on prend ce repère anatomique très complexe et le résumons à ses caractéristiques clés. Lorsqu’on parle du gainage, on parle du tronc sans les bras, les jambes ou la tête. Le tronc est l’anatomie du bassin et du torse incluant toute la colonne vertébrale, la cavité thoracique, la cavité abdominale et le bassin pelvien. Presque tous les mouvements subis par le corps sont transmis par le système central. Chaque fois que vous bougez un membre (de quelque manière que ce soit), tournez la tête ou pratiquez une activité physique, le tronc est impliqué dans une certaine mesure. Votre gainage fonctionne principalement pour absorber, rediriger et transférer les forces dans tout le corps. Bien que vos hanches puissent produire d’énormes quantités de force, la colonne vertébrale et le tronc sont plus efficaces pour assurer la stabilité et le transfert d’énergie au lieu de la générer. Développez la fidélisation des vos coachings avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Avantages du renforcement du gainage du tronc  Afin de réaliser votre potentiel en tant qu’athlète et de réduire les risques de blessures, vous devez intégrer l’entraînement en force à votre programme. Malheureusement, lorsque vous êtes sous pression ou que vous manquez de temps, l’entraînement en force est souvent la première chose à être exclue de votre emploi du temps. En réalité, cependant, l’entraînement en force devrait être une composante indissociable de votre stratégie de performance. L’entraînement en force vous offre des avantages que vous ne pouvez pas obtenir grâce à l’entraînement aérobique seul. En fait, la nature mécanique et répétitive de la plupart des entraînements aérobies entraîne une dégradation des tissus et un dysfonctionnement des articulations. Trop d’entraînement aérobique pousse le système endocrinien dans un état catabolique. Évoquez une projection mentale de toute activité d’endurance et vous verrez qu’elle est essentiellement continue et répétitive. Ce mouvement constant, se produisant principalement dans un seul plan et avec une amplitude de mouvement définie/limitée, ouvre la voie à la propagation des blessures. Le corps humain est conçu pour se déplacer sur plusieurs plans avec des amplitudes de mouvement variées. Augmentez votre puissance lors de mouvements répétitifs Prenons le cyclisme, où les hanches sont fixées au sommet de la selle, les pieds sont liés aux pédales et les bras sont ancrés spatialement sur le guidon dans diverses positions. À partir de cette position anatomique hautement fixe, le cycliste effectue des milliers de répétitions selon une trajectoire de mouvement prédéterminée, limitant ainsi la portée des articulations et des tissus. Avec cette image, imaginez deux coureurs égaux en toutes choses (forme physique et équipement), sauf que l’un des coureurs possède un système de gainage solide et stable. Au fur et à mesure que la course avance, le coureur ayant le tronc le plus fort gagnera à chaque fois. Pourquoi? Parce que l’athlète renforcé peut transférer plus efficacement la puissance dans la pédale, transférant cette énergie dans l’élan souhaité sans les « fuites » de puissance courantes qui surviennent au fil du temps lorsque diverses structures se déforment ou se fatiguent. C’est à peu près la même chose avec la course à pied. Toutes les courses de distance (en particulier celles de plus de 3 km) sont très répétitives. Un athlète ayant un mauvais contrôle postural et une mauvaise stabilité du tronc présentera de plus en plus de « déchets » au fur et à mesure que l’épreuve se déroule. Tout effondrement du contrôle postural ou de la rigidité centrale est inefficace et représente une performance athlétique sous-optimale. Il en va de même pour le ski de fond, l’aviron, la natation ou toute autre épreuve d’endurance. Diminuer le risque de maux de dos Un mouvement propre et de qualité est régi par l’efficacité structurelle et le contrôle postural. Lorsque nous avons une hanche et un tronc stables, nous sommes sur la bonne voie vers de meilleures performances et une exposition moindre aux blessures au dos. Les modèles biomécaniques montrent continuellement que l’entraînement en force réduit considérablement les taux de blessures et améliore les performances. La plupart des preuves suggèrent que les athlètes subissent des taux de blessures identiques, voire plus élevés, que le grand public. Voici quelques faits intéressants sur les maux de dos : Essayez cette séance de renforcement du gainage Vous trouverez ci-dessous une séance de gainage pouvant facilement être intégrée à votre programme d’entraînement qui vous aidera à démarrer la saison du bon pied. Laissez toujours le schéma de répétition guider votre sélection de charge. Ne soulevez jamais plus que ce dont vous êtes capable. Faites toujours confiance à votre intuition lorsqu’il s’agit de faire de l’exercice. Moins est souvent mieux, en particulier au début de tout protocole de musculation. L’entraînement en gainage : Faites une pause de 1 à 2 minutes si besoin avant le prochain circuit : Faites une pause de 1 à 2 minutes si besoin avant le prochain groupe d’exercices : Faites une pause de 1 à 2 minutes si besoin avant le prochain groupe d’exercices : Individualisez vos programmes avec ThePerfClub!ThePerfClub est une plateforme de coaching qui permet aux coachs et aux sportifs à optimiser les progrès et la santé en évitant les blessures. Essayer maintenant Articles recommandés